Résumé
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L'essentiel à retenir

Je suis venu chez Chance parce que j’ai beau être bon dans mon métier, je ne m’y reconnais absolument pas

Ça faisait 2 expériences de suite qui ne se passaient pas très bien : je ne me suis pas senti à ma place, toujours avec le même métier (celui de la finance). Je me suis aperçu que mon métier ne faisait pas appel à mes qualités naturelles : j’ai beau être plutôt bon, ce n’est ni en adéquation avec qui je suis, ni avec mes qualités profondes. J’ai connu Chance par hasard. Mon frère me parlait de tests de personnalité. Je suis tombé sur celui de Chance qui m’a passionné, j’ai utilisé mon CPF et je me suis lancé. Je fais le parcours depuis 2 semaines, j’ai fait ma 1ère séance avec mon coach mercredi dernier donc j’en suis au tout début.

Comment le confinement structure ma réflexion

Le confinement, à mes yeux, a été une énorme opportunité. Je suis en chômage partiel, en télétravail, donc je bosse assez peu mais je garde un rythme sain. Je suis donc en éveil : impossible de me dire que je vais passer la journée devant Netflix puisque j’attends des mails de travail, et donc en attendant de recevoir des choses liées au travail, je réfléchis activement au sens que je veux donner à ma vie. J’ai commencé à lire des livres de développement personnel, ce que je n’avais jamais pris le temps de faire, et je consacre 2 à 3 heures par semaine à Chance. Quand je fais Chance, je me mets à fond, je m’isole et je me concentre.

"J’ai appris avec Chance que les choses qui m’ont rendu le plus heureux, c’est celles que j’ai choisies, pas les chemins qu’on m’a tracés."

Je redécouvre la puissance de faire mes propres choix

J’apprends à ne pas avoir peur, et à me faire confiance. Une activité individuelle forte pour moi a été celle qui rappelle comment on a fait ses choix. J’ai appris avec Chance que les choses qui m’ont rendu le plus heureux, c’est celles que j’ai choisies, pas les chemins qu’on m’a tracés. Notamment un choix déterminant : à la sortie du lycée, j’avais réussi le concours d’entrée d’une bonne école de commerce. Mais mes amis faisaient la fac, qui commençait avant ma rentrée, et j’y suis allé pour me détendre. Je suis tombé amoureux de la fac, j’ai tellement adoré que j’ai dû annoncer à mes parents que je n’allais pas faire l’école de commerce pour choisir mes propres études. Ce moment a été fondateur, et sa valorisation dès le début du parcours Chance me donne beaucoup d’énergie.

Je veux être fier de ce que je fais : la réussite, c’est ça et plus rien d’autre

Ce qui a été re-trié, c’est la notion de réussite, de statut social, et même de rémunération. J’ai fait le choix d’être prêt à en sacrifier une partie si c’est pour gagner une autre chose essentielle : être fier de ce que je fais. Je n’ai pas de honte de mon métier actuel, je n’en suis juste pas fier.

Là où je veux diriger mes pas : le sens et la transmission

Ce qui m’anime, c’est améliorer la connaissance des gens sur le monde qui les entoure, transmettre l’information. La société manque de savoir, de compréhension, parce qu’on ne prend pas le temps d’expliquer, de parler à l’intelligence. J’en suis au tout début, donc je me laisse porter par le parcours, tout en y étant actif. Je ne veux pas que les idées que j’ai en tête orientent mon parcours Chance : je ne veux pas qu’on me dise ce que j’ai envie d’entendre, mais arriver avec l’esprit vierge pour m’assurer qu’avec la plus grande neutralité, j’aboutirai à un lieu qui a du sens.

"Cette crise doit laisser en héritage la question du commun, du collectif, et c’est à ce modèle nouveau, à un nouveau souffle, que je veux participer."

Comment cette crise constitue une catharsis pour ma réflexion

Je pense que cette crise nourrit la réflexion de tout le monde. Cette situation extrême pose des questions sur les risques, sur comment changer la société, se changer soi. C’est une opportunité sociétale et individuelle. À titre personnel, je veux participer activement à quelque chose qui soit réellement utile. Je veux avoir mon petit impact sur ce monde, et pouvoir l’améliorer sur le peu que je peux. Cette crise doit laisser en héritage la question du commun, du collectif, et c’est à ce modèle nouveau, à un nouveau souffle, que je veux participer.J’ai en tête des idées d’activité professionnelle pour à la fois vivre, avoir des salariés, et aller dans ce sens-là, sur le thème de l’enseignement et de la connaissance. Mais une fois de plus, j’en suis aux prémices. Je prends un grand plaisir intellectuel à y réfléchir.

Ce que Chance m’apporte dans ce contexte

Ce que m’apporte l’introspection, à ce stade, c’est vraiment de me remettre en phase avec moi-même, d’arrêter de me mentir sur les choix que j’ai faits, et surtout sur les choix que je n’ai pas faits. Ce n’est pas l’occasion de m’autoflageller, au contraire : ça me donne la force pour me mettre en action.
Et c’est vrai qu’associé à Chance, ce confinement m’apporte une force d’action et de concentration inédite.

Mon conseil pour les futurs talents

Je pense honnêtement qu’il n’y a rien à perdre à faire Chance, que ça ne peut être que bénéfique. C’est extrêmement libérateur, j’ai l’impression de gagner en force à chaque activité. Si les gens se posent des questions, sentent qu’il y a un truc qui cloche, il faut y aller. Ça fait 4 ans que je me pose ces questions, rien qu’en quelques activités je me suis libéré.

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