Résumé
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L'essentiel à retenir

Ne pas se sentir en phase avec son identité professionnelle

Avant de réaliser sa reconversion professionnelle, Pauline était cheffe de projet dans l’industrie. Elle ne s’est jamais sentie au bon endroit et a toujours eu le sentiment d’avoir été dans un moule qui ne lui convenait pas. Pauline nous raconte :

Quand on rencontre quelqu’un, on lui dit : “Qu’est-ce que tu fais dans la vie ?”. Le travail définit énormément une personne. Au début, je n’étais pas très mal, mais je n’étais pas non plus bien.

C’est quelque chose que j’ai mis beaucoup de temps à comprendre parce que quand on a un très beau poste, qu’on est une femme, on n’ose pas trop se dire :  “Ah bah non, en fait, je ne suis pas bien.” On se dit : “Je n’ai pas le droit, je suis une privilégiée.”.”

J’étais comme pas alignée, c’est-à-dire que c’est comme si j’étais là, mais que j’étais dans un moule qui n’était pas le mien. Ça entraîne une forme de tristesse.”

Étant dans un profond décalage entre son métier de cheffe de projet et ses aspirations profondes, et ressentant un mal-être au travail de plus en plus présent, elle explique qu’elle contournait depuis plusieurs années le problème en changeant de poste tous les 2-3 ans :

Je le vivais vraiment comme un échec parce que tout le monde était content de mon travail, mais moi, je n’étais pas bien donc je changeais de travail.

En réalité, ce que vivait Pauline était une démission mentale, un moment où elle subissait son travail au lieu de le vivre. Mais un jour, Pauline a le déclic :

Je me suis dit : il faut que je me pose les bonnes questions.”

Se reconnecter à soi grâce au parcours Chance

C’est ainsi que Pauline commence le parcours Chance, avec la volonté de se (re)trouver et de se reconnecter à elle-même et ses aspirations profondes.

On travaille avec les exercices, on en parle au coach, on fait du ping pong et on avance petit à petit. Je pense que c’est vraiment ça qui fait que ça fonctionne parce qu’on ne se dit pas : “Ah bah toi Pauline, tu as fait ça, tu pourrais peut-être faire ça”. Non, on se dit : “Pauline, tu es qui ?” Et en fonction de qui tu es, on va essayer de t’aligner sur un travail qui va te correspondre.”  

J’ai appris qui j’étais, et je pense que je m’étais complètement perdue, vraiment, très loin.”  

Passer d’un CDI à photographe indépendante : un projet réaliste et motivant

Avant de prendre la décision de changer de vie professionnelle et de passer d’un CDI à l’entrepreneuriat en tant que photographe, Pauline analyse, grâce à la méthode des 4 piliers, à une réflexion sur ses impératifs et à plusieurs enquêtes métiers réalisées durant le parcours, le caractère réaliste de son projet.

Pauline s’est aussi appuyée sur la force du collectif Chance pour pouvoir être mise en relation avec des photographes, et ainsi, être motivée pour enfin se lancer et croire en ses capacités !

La coach m’a mise en relation avec des photographes parce que ce qui me faisait peur, c'était de ne pas avoir le niveau. Et puis tu parles, tu échanges.”  

Ça, c’est sûr que c’est une force de la communauté Chance, parce que toute seule je n’aurais pas été taper à la porte de photographes en disant : “Tu penses que je peux me lancer, là ?”

Devenir photographe et s’épanouir professionnellement : des répercussions personnelles positives

Aujourd’hui, Pauline s’épanouit en étant que cheffe de sa propre entreprise.Dans son studio, c’est l’humain qui est au centre de tous les échanges. Après de nombreuses années sans s’être senti-e au bon endroit, elle peut désormais articuler sa vie comme elle le souhaite.

Quand on passe de cheffe de projet de l’industrie à photographe qui monte sa boîte, le train de vie change. Je suis complètement libre dans la manière de gérer mon entreprise, mon emploi du temps, et c’est quelque chose qui me convient parfaitement  !

Mon fils, récemment, m’a dit : “Ah maman, depuis que tu es photographe, tu rigoles beaucoup plus”.

Le mot de la fin pour franchir le pas de la réorientation professionnelle !

Je pense qu’on peut se reconvertir à tous les moments de sa vie, quand on pense qu’on en a besoin. C’est trop important d’être bien, et ça ne vaut pas le coup d’être malheureux-se car on pense s’être trompé-e.

Ce n’est même pas qu’on s’est trompé-e, peut-être qu’on a juste énormément changé entre le moment où on a choisi ses études et maintenant.

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