D’abord, une petite introduction sur la raison d’être de Chance : Chance souhaite révolutionner, casser les carcans de l'orientation professionnelle. Le pari est de s’entourer des meilleurs experts pour rendre accessibles les meilleures méthodes d’orientation et de coaching afin d’assurer aux personnes un projet pragmatique, épanouissant, pour qu’elles accèdent au travail qui les rendra heureuses.
Chance est une méthode fondée sur l’alliance de l’autocoaching en ligne et du vidéo-coaching.
Le parcours Chance se découpe en 3 étapes fondamentales : introspection, exploration et validation. À la suite de ces 3 étapes, le "bootcamp "commence, avec une série d'activités ultra avancées pour atteindre son projet dans les meilleures conditions.
Découvrez notre vidéo qui résume le parcours en 47 secondes chrono :Beaucoup de personnes arrivent avec une allergie à leur travail telle qu’elles veulent TOUT changer. Or dans ce qu’on fait, certaines choses sont intéressantes à garder et qu’on aime. Il est important de faire le tri entre ce qu’on apprécie (par exemple : le rapport avec les collègues, les horaires, le salaire, etc.) et ce qu’on veut laisser.
On ne le dira jamais assez : ils sont essentiels pour penser un projet professionnel qui vous donnera durablement envie de vous lever chaque matin. Pour tout connaître sur ces notions :
Et cet article, ultra complet.
Si tous les métiers étaient payés pareil, lequel choisiriez-vous ?
Une des meilleures questions au monde. Il est toujours intéressant de se poser ces questions, avant d’entrer dans une logique plus pragmatique. Si on ne s’autorise pas le moment où on ouvre plein de portes, on garde un univers fermé. Aussi bien, vous ne serez pas astronaute ou reporter, mais vous pourrez vous approcher de ces secteurs d’activité avec vos compétences et talents. Tout est intéressant à envisager dans un premier temps.
Quand on construit un projet professionnel, il y a des allers-retours constants à faire entre le rêve (à quoi j’aspire) et concrètement ce qui est possible, ce qui me motive et ce qui est faisable, le monde théorique et le monde de la pratique.
L’idée est donc de partir des aspirations, parce que c’est là qu’on va trouver l’énergie et l’envie de se lever tous les matins, pour aboutir à quelque chose qui est viable.
Chez Chance, on considère qu’un projet est solide quand il est précis, car mieux je sais en parler, plus je me rapprocherai du travail qui me ressemble vraiment.
Il s’agit aussi que le projet soit réaliste : si je veux à la fois travailler en ONG et gagner 20k€ par mois, ça risque d’être compliqué.
Il est donc nécessaire de vérifier que toutes mes envies sont conciliables, et si elle ne le sont pas, de faire des compromis, des choix.
Enfin, savoir identifier son bagage est nécessaire (on a très rarement besoin de repartir à zéro ! Les personnes qui font Chance s’aperçoivent bien régulièrement que leurs compétences sont transférables ou rapidement adaptables), et connaître humblement ses points de montée en compétence est également un atout considérable face à un recruteur.
L’action génère la confiance en soi. Et c’est aussi par l’action que le projet pourra avoir lieu. Une action n’a pas à être spectaculaire, au contraire : plus les actions sont petites, moins elles font peur, plus elles sont motivantes. Commencer à rencontrer des gens, à parler de son projet, regarder les offres d’emploi : tout cela relève de l’action. Ces actions sont à vraiment découper, de sorte qu’elles ne soient pas angoissantes : une petite action, c’en est une.
“Si vous remettez à plus tard, ce n’est pas par paresse mais par blocage”
La seule bonne décision est la vôtre.
On a tou(te)s pris des décisions pour faire plaisir à quelqu’un, ou sous l’influence d’une personne qui n’était pas soi. Certaines décisions étaient même très bonnes, n’allons pas nous culpabiliser ! En revanche, une fois qu’on est bien ancré dans sa vie et qu’on apprend à mieux se connaître, il est crucial de prendre des décisions bonnes pour soi (car il n’y a pas de bonne décision, mais une décision bonne pour soi). Reprendre les rênes de ses décisions, devenir décideur(se) s’apprend durant tout le parcours Chance.
“Pour votre reconversion, prenez les décisions qui vous ressemblent”
On ne le répètera jamais assez : un travail, c’est métier + un environnement + une finalité/cause/utilité + des impératifs (financiers, géo, horaires, etc.).
Il faut tout prendre en compte, sans jugement : quelle est “la vie que j’ai envie d’avoir” ? Quand on a des enfants, on peut aussi bien vouloir mieux gagner sa vie pour payer un baby-sitter le soir OU pouvoir les chercher chaque soir à 16h30. Il n’y a aucun jugement à porter, mais le clarifier permet d’être très net(te) pour poser ses conditions incompressibles lors d’un recrutement.
L’entourage permet de s’entourer d’une richesse d’opinion, de réseau, d’opportunités. Il sert à aller vraiment plus vite à moyen terme, c’est un réel accélérateur, ne serait-ce que parce que ses retours constructifs et motivants contribuent à bâtir et consolider sa confiance en soi.
Attention en revanche à l’entourage certes aimant mais freinant (souvent, il s’agit des parents, ne nous mentons pas), qui projette ses peurs sur soi au lieu de créer les conditions de la confiance.
“Défendre ses choix de vie grâce à la communication non violente”
Vous ne cherchez pas un travail, vous proposez une solution pour répondre à un besoin. Attention, changement de paradigme : vous êtes à la même hauteur que le recruteur.
C’est très important de s’en souvenir. C’est pour ça qu’être prêt(e), bien se connaître, avoir identifié ses besoins, aspirations, limites et impératifs, fait de vous une personne précieuse si vous arrivez face à un recruteur, c’est parce que son offre vous a fait vibrer, que vous avez une forte valeur à lui apporter.