Parce que les stress administratifs ne devraient jamais entamer votre désir d’entrepreneuriat, le cabinet Novaa Expertise est spécialisé dans l’accompagnement juridique et administratif des nouveaux créateurs d’entreprise.
Avant de voir comment faire un choix, observons déjà de quel choix nous disposons. Il y a 3 formes distinctes d’entreprises :
La micro-entreprise est une forme d’entreprise individuelle.
Son avantage majeur est que les démarches de création et de fermeture sont ultra-simplifiées.
Le chiffre d’affaires est plafonné si vous voulez éviter d’être assujetti(e) à la TVA. Le chiffre d’affaires annuel (à proratiser si on ouvre en cours d’année) doit être inférieur à :
Votre régime social : travailleur(se) non salarié(e) soumis(e) à la Sécurité Sociale des Indépendants (SSI).
Vous serez imposé(e) sur la base de votre chiffre d'affaires encaissé après un abattement forfaitaire. Cet abattement est différent selon les activités :
Pour garder votre régime fiscal et social de micro-entreprise, vous devez rester en dessous d'un certain seuil de chiffre d'affaires 2 années consécutives.
Son avantage majeur est que les démarches de fermeture et de modifications sont très simples. Également, les revenus de l’entreprise individuelle vont directement sur votre compte en banque, ce qui simplifie vos démarches fiscales (puisque l’entreprise individuelle n’est pas séparée de vous, dans le distinguo personne physique / personne morale).
Votre régime social : travailleur(se) non salarié(e) soumis(e) à la Sécurité Sociale des Indépendants (SSI).
Si vous choisissez l’entreprise individuelle, votre base d'imposition est le bénéfice, qui se calcule de manière simple :
Chiffre d’affaires (rentrées d’argent) - Charges (dépenses de l’entreprise) = Bénéfice.
Cette forme d’entreprise est déconseillée si votre chiffre d’affaires augmente et que vos charges stagnent, car dans ce cas, vos impôts sur le revenu et votre cotisation à la Sécurité Sociale des Indépendants seront plus importants.
Avantages :
Inconvénients :
Avantages :
Inconvénient :
En effet, on demeure perplexe ! Il faut donc se créer une grille de questions :
Si je n’en ai pas, la micro-entreprise ou l’entreprise individuelle en frais réels est indispensable.
Est-ce un choix de vie complet, ou un complément de revenus que je veux ? Est-ce que j’ouvre une activité en attendant de retrouver une activité salariée ? Si c’est pour un complément ou un projet de court terme, l’entreprise individuelle ou la micro-entreprise sont à privilégier, dans le cas contraire la société.
La meilleure couverture sera avec la SASU, qui vous garantit d’être au régime général.
Si vous optez pour l’EURL, vous relevez de la protection sociale des indépendants (dont le coût est plus faible qu’au régime général mais dont la couverture est assez moyenne, ce qui induira de prendre une complémentaire et d’être soumis à des tarifs élevés dans le cas où vous avez des antécédents de santé).
Si c’est le cas, la société s’impose.
Si oui, alors il faut d’emblée exclure l’option de la micro-entreprise, qui rend impossible de mettre en frais réels ses dépenses (et donc de baisser le taux d’imposition).
Faisons un petit focus sur ces fameux frais :
Prenons par exemple l’achat d’un véhicule.
Pour les EURL/SARL ou en SASU/SAS, étant donné que votre société (personne morale) est indépendante de vous (personne physique), les revenus que vous percevez sont fixés par vous-même.
Chez moi ou dans une entreprise de domiciliation ?
Le capital social minimum est de 1 euro, MAIS ce capital a un impact sur l’image de sérieux de votre entreprise. En moyenne, le capital social de départ est de 500 à 3 000€. Dites-vous bien qu’une fois le KBIS (compte de société) créé, le capital social va être basculé sur votre compte de société, première trésorerie dans l’entreprise. Cet argent sera un premier élément dans votre trésorerie pour commencer à acheter du matériel, payer des prestataires, etc. En un mot, le capital social n’étant pas bloqué, soyez généreux(se) avec votre société.
Rédigez une description assez large, pas trop restrictive, sur l’activité que vous prévoyez au sein de l’entreprise. Attention, changer son objet social est fastidieux et coûteux : anticipez en étant aussi large que possible dans la formulation. Cet objet social sera utilisé par l’Insee pour vous donner un code APE, sachant que ce code est formulé sur la base des premiers mots (qui doivent donc être larges). Exemple : “Conseil en entreprises dans les domaines de x, y, z.”
C’est obligatoire en EURL/SARL ou SASU/SAS, pas nécessaire en micro-entreprise et auto-entreprise. Cela étant, il est obligatoire d'avoir un compte dédié à l'activité en micro-entreprise si votre chiffre d'affaires est supérieur à 10 000€ HT.
Clairement, en auto-entreprise et en micro-entreprise, vous n’avez pas besoin d’accompagnement. En revanche, si vous montez une société, ce sera très précieux.
Se faire accompagner a certes un coût, mais si vous le rapportez au temps que vous passerez dans les démarches administratives, juridiques et comptables, il y a de fortes chances pour que vous soyez financièrement gagnant(e) dans l’affaire - et moins stressé(e), au passage.
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